Chapitre 28
Lorsque Pierre Cavalier referma la porte de la chambre de sa fille Philippine après l’avoir bordée, sa femme Isabelle le surprit des larmes aux yeux.
– Mais qu’est-ce qui t’arrive ? lui demanda-t-elle soudainement inquiète.
– Je crois que j’ai enfin trouvé ma famille, dit-il en souriant à sa femme interloquée. Viens, je vais t’expliquer, ajouta-t-il en lui prenant la main et en l’entraînant vers leur chambre
Puis il lui parla longuement de sa tante Jeanne Collieri et de ses amies. Toutes de parfaites et charmantes vieilles dames indignes.
Un peu moins de sa si gracieuse cousine corse.
« Le sanglot de Satan dans l’ombre continue. »
Hugo, Victor.
© Alain Pecunia, 2009.
Tous droits réservés.
Lorsque Pierre Cavalier referma la porte de la chambre de sa fille Philippine après l’avoir bordée, sa femme Isabelle le surprit des larmes aux yeux.
– Mais qu’est-ce qui t’arrive ? lui demanda-t-elle soudainement inquiète.
– Je crois que j’ai enfin trouvé ma famille, dit-il en souriant à sa femme interloquée. Viens, je vais t’expliquer, ajouta-t-il en lui prenant la main et en l’entraînant vers leur chambre
Puis il lui parla longuement de sa tante Jeanne Collieri et de ses amies. Toutes de parfaites et charmantes vieilles dames indignes.
Un peu moins de sa si gracieuse cousine corse.
« Le sanglot de Satan dans l’ombre continue. »
Hugo, Victor.
© Alain Pecunia, 2009.
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