vendredi 31 août 2012

Noir Express : "Au nom du Vieux", de Alain Pecunia, en téléchargement gratuit sur FEEDBOOKS


Deux frères qui volent au secours de leur vieux père, quoi de plus émouvant – et de plus imprudent quand on est bien placé pour connaître la personnalité particulière de ce vieux ?… Pourtant, ils ne sont pas naïfs puisque policiers à l’Inspection générale des services. Mais leur père, lui, était l’adjoint du service des « coups tordus » à la DST.
Dès le départ, ils avaient affaire à forte partie, mais ils auraient dû se méfier de leurs sentiments filiaux.
Les retrouvailles seront sanguinolentes, c’est peu de le dire…

samedi 18 août 2012

Noir Express : "Les Plombiers de l'ambassade", de Alain Pecunia, sont en téléchargement gratuit sur FEEDBOOKS


Jeune décorateur talentueux et mondain, Patrice Lore vit une liaison sans histoire avec Christèle, sa maîtresse, épouse du conseiller du garde des Sceaux, Hervé-Jean Riquet, mari apparemment complaisant. Mais Patrice Lore ignore que des services l’ont « sélectionné » pour être une pièce de leur échiquier mortel où tous les coups sont permis, surtout les plus tordus, aux conséquences, le plus souvent, inattendues.

Idéal pour terminer les vacances !

mardi 14 août 2012

Noir Express : "Les Cabanes du Havre", de Alain Pecunia, en téléchargement gratuit sur FEEDBOOKS


Un homme est découvert assassiné, le crâne fracassé au pied-de-biche, dans les toilettes de la plage du Havre. Un crime commis par un bel après-midi de juin mais sans témoin. La personnalité de la victime, Jean Vial, attire l’attention du commandant Pierre Cavalier de la section des « affaires spéciales » de la Direction centrale des Renseignements généraux. Crime crapuleux ou lié à ses anciennes activités d’agent provocateur ? L’assassinat d’un des bras droits du sinistre Pierre-Marie de Laneureuville ne peut être un crime banal.
Quel lien entre ce meurtre et la tentative d’enlèvement de la petite fille du couple Isabelle et Pierre Cavalier par un groupuscule « brun rouge » obéissant aux ordres d’un vieil anar espagnol ?

samedi 11 août 2012

Noir Express : Salauds de vieux !

3 000 vieux se suicident chaque année. Information sociétale importante dont la télévision a débattu cette semaine. Même le responsable du syndicat des maisons de retraite privées est monté au créneau.

Il faut sauver nos vieux qui se suicident par désespérance, en créant des postes d'assistants, de psys, etc.

Ces vieux sont inconscients, non seulement ils créent un manque à gagner, mais, en plus, ils empêchent la création d'emplois.

Il y en a même qui se suicident en mouroir !

De l'égoïsme pur et simple. Un vieux, ça doit être rentable jusqu'au bout et mourir quand il se doit en respectant les formes.

Bon, d'un point de vue de jeune, on peut considérer que ça fait faire des économies à la Sécu, que si le vieux suicidaire est encore chez lui ça libère un appart, sans même songer aux héritiers qui, bien sûr, sont tellement attachés à leur vieux qu'ils ne sauraient souhaiter leur disparition.

Vraiment des salauds, les vieux !

Oser disposer de sa vie lorsque l'on a atteint un grand âge (alors que nous sommes devenus immortels), lorsque les maladies invalidantes commencent à s'accumuler (les toubibs et les maisons de retraite sont là pour y remédier avec toute leur science et plein de tendresse), lorsque l'on est vraiment à bout de souffrance. Surtout lorsqu'on est à bout de souffrance, puisqu'il est prévu dans ce cas d'achever le mieux médicalement...

Refuser de mourir dans les normes, c'est s'échapper, s'évader, établir un acte de liberté. C'est quasiment du nihilisme. pour le moins un scandale. Un vieux n'a pas le droit de choisir sa mort en faisant un pied de nez à une société qui veille autant à son bien-être.

C'est dégueulasse moralement, socialement, économiquement. L'anarchie, quoi !

Et que va devenir notre jeunesse au chômage si elle n'a plus la perspective d'aller torcher les vieux !

Salauds de vieux !

Pourtant, il fut un temps, dans l'Antiquité (mais c'était quand l'Antiquité !), où il était considéré qu'un vieux en fin de vie avait le droit de tirer sa révérence au moment de son choix. On appelait cela le "suicide philosophique".

Pensons surtout à éviter à des jeunes de se suicider. Car, là, c'est un réel gâchis et une insulte à la vie. Et, lorsqu'un jeune se suicide, c'est réellement la faute des "vieux" qui n'ont pas su le retenir.

Quant aux vieux, qui n'ont pas toujours vécu librement en ce bas monde, laissons-les choisir leur fin de vie. C'est leur liberté et leur droit, même si ça défrise l'Etat.

Que chacun meure selon sa conception de la dignité humaine !

vendredi 10 août 2012

Noir Express : "Une putain d'histoire", de Alain Pecunia, en téléchargement gratuit sur FEEDBOOKS


La vie des sœurs Terrassou, Zoé et Chloé, bascule quand elles décident de se débarrasser de Jacques-Henri, leur complice et amant. Qui nourrissait d’ailleurs le même projet à leur égard.
Mais elle avait déjà basculé dans l’horreur et le sordide dès leur « tendre » enfance. Et, grâce à Chloé, l’aînée, elles s’en sont toujours sorties. Du moins, c’est leur point de vue, car elles ont un tueur à affronter, et par n’importe lequel.
Quant au commissaire nantais René Bellou…

mercredi 8 août 2012

Noir Express : "Mathilde - III", de Alain Pecunia, en téléchargement gratuit sur FEEDBOOKS


D’octobre 1922 au mois de juillet 1924, la destinée de la comtesse Mathilde de La Joyette s’inscrit sur fond de la marche sur Rome à la victoire électorale du Cartel des gauches en passant par la guerre du Rif, découvrant plus particulièrement sa vie sentimentale et les débuts de sa carrière littéraire, pour aboutir à une révélation qui bouleversera son existence, celle de la véritable identité du capitaine Marchal…
La saga continue…

mardi 7 août 2012

Noir Express : "Editeur au sang", de Alain Pecunia, en téléchargement gratuit sur FEEDBOOKS


L’éditeur parisien Serge Tampion a été retrouvé suicidé à son domicile. Cela aurait pu rester un simple fait divers si le complément d’enquête n’avait été confié au capitaine Isabelle Cavalier de la Brigade criminelle et si la mort ne continuait de frapper les collaborateurs de Serge Tampion.
L’édition peut être un métier plein de périls où la raison d’État trouve son mot à dire.
Un retour sur des dossiers sensibles qui ont fait trembler la République – ou plutôt ces princes qui nous gouvernent…