Chapitre 29
Une fois de retour à la direction des Renseignements généraux rue des Saussaies, Pierre Cavalier prit toutes les dispositions pour que Janine Bangros fût mise en lieu sûr jusqu’au dénouement.
Il s’entretint avec elle une partie du reste de la nuit.
Ce fut fort instructif. Il saisissait mieux la psychologie de Roger Bangros. Mais deux, trois choses lui mirent la puce à l’oreille. Juste un pressentiment pour l’instant.
Il lui renouvela sa promesse de protéger son Roger. Tout en sachant qu’il lui était impossible de la tenir.
Il prit quelques heures de sommeil et appela le divisionnaire de la DST qui l’avait reçu dans la nuit à dix heures du matin, lui communiquant trois nouvelles adresses où Roger Bangros était susceptible de s’être caché.
Ils étaient quitte.
L’équipe de surveillance de Montreuil avait été relevée.
Rien n’avait bougé cette nuit.
Mais la nouvelle équipe avait remarqué la sortie d’un des deux jeunes de l’immeuble condamné.
Il était revenu une heure plus tard avec des provisions. Deux grands sacs.
On était le samedi 27 décembre.
Pierre Cavalier prit un copieux déjeuner vers onze heures et songea à la fébrilité qui devait régner dans les équipes d’intervention de la DST.
Il sourit de satisfaction. Toute cette agitation allait lui rabattre son gibier.
La DST bossait pour lui.
Mais il ne se passerait rien avant la nuit et il décida de rentrer chez lui se reposer.
© Alain Pecunia, 2009.
Tous droits réservés.
Une fois de retour à la direction des Renseignements généraux rue des Saussaies, Pierre Cavalier prit toutes les dispositions pour que Janine Bangros fût mise en lieu sûr jusqu’au dénouement.
Il s’entretint avec elle une partie du reste de la nuit.
Ce fut fort instructif. Il saisissait mieux la psychologie de Roger Bangros. Mais deux, trois choses lui mirent la puce à l’oreille. Juste un pressentiment pour l’instant.
Il lui renouvela sa promesse de protéger son Roger. Tout en sachant qu’il lui était impossible de la tenir.
Il prit quelques heures de sommeil et appela le divisionnaire de la DST qui l’avait reçu dans la nuit à dix heures du matin, lui communiquant trois nouvelles adresses où Roger Bangros était susceptible de s’être caché.
Ils étaient quitte.
L’équipe de surveillance de Montreuil avait été relevée.
Rien n’avait bougé cette nuit.
Mais la nouvelle équipe avait remarqué la sortie d’un des deux jeunes de l’immeuble condamné.
Il était revenu une heure plus tard avec des provisions. Deux grands sacs.
On était le samedi 27 décembre.
Pierre Cavalier prit un copieux déjeuner vers onze heures et songea à la fébrilité qui devait régner dans les équipes d’intervention de la DST.
Il sourit de satisfaction. Toute cette agitation allait lui rabattre son gibier.
La DST bossait pour lui.
Mais il ne se passerait rien avant la nuit et il décida de rentrer chez lui se reposer.
© Alain Pecunia, 2009.
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