Chapitre 30
Le lundi, Jacques-Henri Bellou s’inquiéta de ne pas assister à la promenade matinale de Zoé avec son chien.
Il passa et repassa plusieurs fois devant la brasserie, déconcerté de ne pas y apercevoir Chloé.
« Peut-être ont-elles pris leur journée », se dit-il. L’absence de leur vieille chiotte le confortant dans cette idée.
Mais, le mardi midi, n’apercevant ni l’une ni l’autre, il décida d’en avoir le cœur net et alla déjeuner à la brasserie.
À la fin du repas, tout en réglant son addition à la caisse, il s’étonna auprès de la patronne de ne plus voir la « jeune serveuse ».
– C’est qu’elles ont fait un bel héritage, mon brave monsieur. Leur grand-mère qui vivait à Pornichet est morte, la pauvre…
Jacques-Henri, surpris un instant de la coïncidence, l’oublia aussitôt.
Le soir même, il partit en stop pour Pornichet.
© Alain Pecunia, 2010.
Tous droits réservés.
Le lundi, Jacques-Henri Bellou s’inquiéta de ne pas assister à la promenade matinale de Zoé avec son chien.
Il passa et repassa plusieurs fois devant la brasserie, déconcerté de ne pas y apercevoir Chloé.
« Peut-être ont-elles pris leur journée », se dit-il. L’absence de leur vieille chiotte le confortant dans cette idée.
Mais, le mardi midi, n’apercevant ni l’une ni l’autre, il décida d’en avoir le cœur net et alla déjeuner à la brasserie.
À la fin du repas, tout en réglant son addition à la caisse, il s’étonna auprès de la patronne de ne plus voir la « jeune serveuse ».
– C’est qu’elles ont fait un bel héritage, mon brave monsieur. Leur grand-mère qui vivait à Pornichet est morte, la pauvre…
Jacques-Henri, surpris un instant de la coïncidence, l’oublia aussitôt.
Le soir même, il partit en stop pour Pornichet.
© Alain Pecunia, 2010.
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