Chapitre 22
À la sortie de la cérémonie religieuse, le capitaine Isabelle Cavalier parvint à se glisser discrètement aux côtés de la petite Corinne Cangros.
– Vous aussi, vous êtes la maîtresse de Bonnot ? lui murmura-t-elle.
La jeune fille lui jeta un regard affolé.
Isabelle Cavalier se sentit sur la bonne piste.
Il lui restait à trouver lequel des adultes concernés craquerait le premier, c’est-à-dire le plus facilement.
Elle pensa d’abord à Mme Claron, la prof de français. Celle qui s’était montrée réticente, au dire de Christelle de Saint-Fort, aux amours emmêlées.
M. Hervé-Pierre de Saint-Fort était également intéressant. Surtout s’il n’était pas le géniteur d’Angeline.
Une pensée lui vint. Elle la rejeta. Elle lâchait trop la bride à son imagination.
M. de Saint-Fort ne pouvait pas être l’assassin d’Angeline.
© Alain Pecunia, 2009.
Tous droits réservés.
À la sortie de la cérémonie religieuse, le capitaine Isabelle Cavalier parvint à se glisser discrètement aux côtés de la petite Corinne Cangros.
– Vous aussi, vous êtes la maîtresse de Bonnot ? lui murmura-t-elle.
La jeune fille lui jeta un regard affolé.
Isabelle Cavalier se sentit sur la bonne piste.
Il lui restait à trouver lequel des adultes concernés craquerait le premier, c’est-à-dire le plus facilement.
Elle pensa d’abord à Mme Claron, la prof de français. Celle qui s’était montrée réticente, au dire de Christelle de Saint-Fort, aux amours emmêlées.
M. Hervé-Pierre de Saint-Fort était également intéressant. Surtout s’il n’était pas le géniteur d’Angeline.
Une pensée lui vint. Elle la rejeta. Elle lâchait trop la bride à son imagination.
M. de Saint-Fort ne pouvait pas être l’assassin d’Angeline.
© Alain Pecunia, 2009.
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